Top 8 des meilleurs personnages de singes maléfiques dans les films, classés

Top 8 des meilleurs personnages de singes maléfiques dans les films, classés

Aperçu

  • Les singes dans le cinéma peuvent évoquer toute une gamme d’émotions, allant de la joie à la peur.
  • Parmi les représentations notables, on trouve les Ozymandias, les singes espiègles de Jumanji et les sinistres gorilles gris de Congo.
  • Des personnages comme le roi Louie, Ella et le singe-rat de Sumatra illustrent l’impact diversifié de ces représentations de primates.

Indépendamment des croyances sur l’évolution humaine, les similitudes visuelles entre les humains et les primates, comme les singes et les grands singes, les rendent fascinants à la fois dans la réalité et à l’écran. Cette ressemblance commune permet aux singes de refléter brillamment les émotions humaines, contribuant à leur attrait en tant que compagnons attachants dans les films. Cependant, cette proximité avec l’humanité peut également créer un sentiment de malaise, soulignant la vallée étrange qui sépare la nature humaine du comportement des primates.

De nombreux films ont représenté des singes malveillants, l’un des plus célèbres étant Le Singe d’Osgood Perkins. Pourtant, il existe une vaste gamme de représentations cinématographiques de singes méchants ; comment se comparent-ils dans leurs actes crapuleux ?

8Ozymandias /Golden Monkey (La Boussole d’Or)

Un familier maléfique

Ozymandias dans La Boussole d'or (2007)

La Boussole d’or est une interprétation cinématographique de la série À la croisée des mondes, qui se déroule dans un univers parallèle où une jeune fille nommée Lyra découvre un monde peuplé de démons, des manifestations de l’âme humaine. Marissa Coulter, l’une des antagonistes du film, possède un singe doré, souvent appelé Ozymandias. Les actions menaçantes de ce personnage alors qu’il aide Marissa dans sa quête du bien précieux de Lyra en font un personnage redoutable dans le récit, en particulier si on le compare à son portrait dans l’adaptation de HBO et dans les romans originaux.

7 Les Singes (Jumanji)

Jouer à un jeu de société libère des singes maléfiques

Le Mandrill dans Jumanji

Dans Jumanji, un jeu de société invite Judy et Peter, frères et sœurs, avec des rythmes de tambour enchanteurs, rappelant la mélodie de The Monkey. En s’engageant dans le jeu, ils se retrouvent maudits, leurs actions dans le jeu ayant un impact direct sur la réalité. La transformation de Peter en singe sert de tournure troublante à l’horreur corporelle, amplifiant la terreur que ces créatures surnaturelles incarnent.

6 Le Roi Louie (Le Livre de la Jungle 2016)

Un singe massif avec une tournure inquiétante

Le Roi Louie dans Le Livre de la Jungle (2016)

Le Livre de la jungle de Disney est sorti pour la première fois sur les écrans en 1967, avec le Roi Louie qui captivait les cœurs sous la forme d’un joyeux orang-outan aspirant à acquérir le « don du feu de l’homme » de Mowgli. Cependant, le remake de 2016 met l’accent sur un ton plus sombre, transformant le Roi Louie en un géant grotesque. L’animation incorpore astucieusement des éléments de son doubleur, Christopher Walken, ce qui donne un personnage troublant qui rappelle un boss d’un jeu Dark Souls, particulièrement mémorable lors de la séquence de poursuite palpitante.

5 Ella (Le singe brille)

Un singe dévoué avec un côté sombre

Ella dans Monkey Shines

Monkey Shines, malgré sa couverture représentant un singe en peluche inoffensif, diverge considérablement dans le récit. Le film raconte l’histoire d’un étudiant paralysé, Allan, qui devient dépendant de son singe assigné au laboratoire, Ella, pour l’aider. Initialement une étincelle brillante dans la vie difficile d’Allan, l’attachement d’Ella dégénère en un comportement dangereusement possessif, la conduisant à commettre des actes violents au nom de sa propriétaire. Le contraste entre sa taille et son potentiel mortel accentue l’horreur ancrée dans le film.

4 Gordy (non)

La chute d’une star de la télévision bien-aimée

Gordy brise un vase à Nope

Le film Nope se concentre principalement sur l’horreur extraterrestre, mais fait référence de manière intrigante à une sitcom fictive appelée Gordy’s Home, mettant en scène le chimpanzé titulaire. Une intrigue secondaire révèle que Gordy, autrefois une star appréciée, est devenu violent de manière imprévisible, ce qui a entraîné des conséquences horribles sur le tournage. Bien que le récit principal du film se concentre sur une entité extraterrestre, la représentation effrayante du saccage de Gordy reste l’un des moments les plus obsédants.

3 Les Gorilles Gris (Congo)

Des gorilles sinistres en chasse

Un gorille gris au Congo

Congo, basé sur le roman de Michael Crichton, met en scène une équipe de chercheurs en mission pour ramener Amy, un gorille capable de parler le langage des signes, dans la nature. Guidés par des aventuriers aux arrière-pensées en quête d’une cité antique, les chercheurs rencontrent sans le savoir une menace redoutable : les gorilles gris. Ces singes terrifiants traquent et tendent des embuscades à l’équipe tout au long du film, aboutissant à une confrontation intense dans la conclusion palpitante.

2 singes rats de Sumatra (morts vivants)

Une créature terrifiante avec des morsures dignes de zombies

Le singe-rat de Sumatra dans Dead Alive

Dead Alive (également connu sous le nom de Braindead ), réalisé par Peter Jackson, présente l’étrange singe-rat de Sumatra, capturé sur l’île du Crâne puis transféré dans un zoo de Newtown. Le récit prend une tournure comique sombre lorsque le singe mord la mère de Lionel, déclenchant une apocalypse zombie déclenchée par sa transformation. Ce récit grotesque met en valeur le chaos qui découle de la simple présence du singe, dégénérant en horreur et en absurdité.

1 Le Singe

Un jouet étrange doté de pouvoirs obscurs

Le singe dans Le singe

The Monkey présente un récit obsédant dans lequel un singe-jouet sans prétention incarne le mal à l’état pur. Son origine reste entourée de mystère et il devient une source de terreur pour la famille Shelburn. Le mécanisme inquiétant permet au jouet d’émettre une mélodie sinistre avant d’annoncer mystérieusement une mort brutale. Ce cycle incessant de malheur, associé à l’immortalité apparente du jouet, l’élève au rang de l’une des représentations les plus effrayantes de primates malveillants de l’histoire du cinéma.

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