Areum, membre du groupe T-ARA, condamné à huit mois de prison pour une affaire de maltraitance d’enfants

Areum, membre du groupe T-ARA, condamné à huit mois de prison pour une affaire de maltraitance d’enfants

Areum, ancien membre de T-ARA, condamné pour maltraitance d’enfants

Areum, une ancienne membre du groupe de K-pop populaire T-ARA, a récemment été condamnée à de graves accusations de maltraitance sur mineur. Dans un développement important survenu en 2024, le média Dispatch a révélé qu’une ordonnance de restriction temporaire avait été émise contre Areum et sa mère, leur interdisant tout contact avec ses enfants.

Contexte des allégations

Dans un premier temps, Areum a accusé son ex-mari, connu sous le nom de M. A, d’avoir commis des actes de maltraitance sur des enfants. Des allégations troublantes ont été formulées, notamment selon lesquelles il aurait dirigé sa colère contre les enfants et les aurait soumis à des traitements dégradants. Des accusations spécifiques portaient notamment sur des cas d’urination et de défécation infligées aux enfants sur le visage.

Enquête et rejet des plaintes contre M. A

Malgré la gravité des accusations, l’enquête menée par les forces de l’ordre locales a révélé un manque de preuves concluantes pour étayer les allégations d’Areum. En raison de preuves insuffisantes et de la crédibilité douteuse des témoignages, les accusations contre M. A ont finalement été abandonnées en mai 2024.

Nouveaux développements dans la bataille juridique d’Areum

L’agence de presse coréenne fnnews a récemment rapporté qu’Areum avait été condamné à huit mois de prison avec sursis, deux ans de probation et 40 heures de cours de prévention de la maltraitance des enfants. Cette décision a été rendue par le juge Yoon Sang Do du tribunal du district de Suwon.

Autres accusations et conclusions du tribunal

Outre les abus sur mineur, Areum fait face à d’autres accusations, notamment de droguer des mineurs et de diffamation. Au cours du procès, il a été indiqué qu’elle avait tenu des propos injurieux envers son ex-mari devant ses enfants. De plus, lors d’une émission en direct, Areum aurait diffamé un autre individu, désigné simplement par le sobriquet « A », qui avait rendu publics des documents judiciaires concernant son conjoint actuel.

Le tribunal a reconnu qu’Areum avait reconnu les faits reprochés, déclarant : « Le préjudice émotionnel causé au tuteur légal de l’enfant victime est hautement répréhensible. » Malgré la nature odieuse des accusations, le tribunal a déterminé que ses actes étaient diffamatoires.

Condamnation de la mère et contexte de négligence

Dans un jugement connexe, la mère d’Areum a également été condamnée à quatre mois de prison, ainsi qu’à un an de probation. Les accusations portées contre elle comprenaient la négligence envers ses petits-enfants, la création d’un environnement toxique dans lequel Areum aurait verbalement agressé son ancien gendre de 2021 à 2022.

Cette affaire met en lumière les graves problèmes entourant la protection de l’enfance et les conséquences des comportements abusifs au sein des familles, en particulier dans le contexte de personnalités publiques de premier plan.

Pour plus de détails, vous pouvez consulter le rapport complet ici .

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