Stephen King s’est exprimé sur un classique de l’horreur vieux de 10 ans : « Il m’a fait une peur bleue »

Stephen King s’est exprimé sur un classique de l’horreur vieux de 10 ans : « Il m’a fait une peur bleue »

Stephen King est depuis longtemps considéré comme le « roi de l’horreur », ayant écrit certains des romans les plus remarquables du genre. Ses recommandations ont un poids considérable, surtout lorsqu’il note qu’un roman d’horreur particulier l’a « terrifié comme un fou ». Avec une bibliographie exhaustive de plus de 60 livres, il est impressionnant de trouver une œuvre capable de véritablement effrayer quelqu’un du calibre de King, ce qui rend son approbation d’un titre spécifique de 2015 d’autant plus convaincante pour les lecteurs en quête d’une expérience effrayante.

Il peut être difficile d’identifier les romans d’horreur qui perdurent dans le temps, mais les distinctions de King mettent souvent en lumière des œuvres remarquables. Il a défendu Sharp Objects de Gillian Flynn bien avant qu’il ne soit largement acclamé, et a également fait l’éloge de Lock Every Door de Riley Sager, qui continue de déstabiliser les lecteurs des années après sa sortie. De plus, l’enthousiasme constant de King pour le roman d’horreur de Paul Tremblay, Head Full of Ghosts , vieux de près de dix ans , constitue une forte motivation pour les lecteurs en quête d’une lecture captivante.

Le succès de Stephen King pour Head Full of Ghosts souligne son caractère profondément effrayant

Une force dans l’horreur psychologique

Stephen King assis sur un fond gris avec son menton appuyé sur son poing

Sur les réseaux sociaux, King met souvent en avant les œuvres d’autres auteurs, et sa reconnaissance pour Head Full of Ghosts de Paul Tremblay souligne son caractère extrêmement effrayant. En août 2015, King a partagé sur Twitter (maintenant X) que le roman « m’a fait une peur bleue, et je suis assez difficile à effrayer ». Ce sentiment résonne dans les critiques du livre sur Goodreads , qui louent ses thèmes psychologiques dérangeants et son atmosphère sinistre générale.

Au cœur de Head Full of Ghosts se trouve le cas énigmatique de Marjorie, une jeune fille qui semble possédée. On ne sait pas encore si son comportement troublant résulte d’une véritable influence démoniaque. Le père Wanderly, le prêtre désireux d’aider la famille de Marjorie, croit fermement en sa possession et entame un voyage tumultueux pour la sauver. Pour alléger leurs problèmes financiers et documenter le déroulement des événements, la famille de Marjorie accepte que son exorcisme soit filmé pour une émission de télé-réalité intitulée The Possession , révélant une grande partie des événements qui se déroulent du point de vue de sa sœur, Merry, qui est encore une enfant au moment de ces événements.

Le récit innovant de Head Full of Ghosts constitue une contribution significative à la littérature d’horreur, encourageant les lecteurs à réfléchir à la véritable nature de l’état de Marjorie bien après avoir tourné la dernière page. Racontée à travers les yeux de Merry, l’épreuve de la famille offre un regard unique sur leur tragédie, augmentant les enjeux émotionnels et la complexité de l’histoire. Bien que la nature de ses frayeurs diverge des révélations de monstres typiques ou de la violence graphique, le profond malaise psychologique du livre est sûr de persister, laissant les lecteurs regarder métaphoriquement par-dessus leur épaule longtemps après l’avoir posé.

Des fantômes plein la tête : un classique de l’horreur à lire absolument une décennie après sa sortie

Une des plus belles œuvres de Paul Tremblay

Couverture de Head Full of Ghosts avec le titre en texte noir

Il est remarquable que Head Full of Ghosts continue de faire honneur aux éloges que lui a valu King il y a près de dix ans. La fin du roman, frappante et inoubliable, est susceptible de résonner auprès des lecteurs longtemps après qu’ils auront terminé le livre. Il reste l’une des meilleures œuvres de Tremblay, se taillant une place notable dans le sous-genre de l’horreur sur le thème de la possession, même au milieu de l’incertitude entourant la présence réelle du mal. L’ambiguïté entourant la prétendue hantise laisse de profondes cicatrices émotionnelles sur Merry et fracture la famille d’une manière qui semble terriblement réaliste. L’approbation de Stephen King il y a dix ans est toujours d’actualité, réaffirmant la valeur du roman pour les lecteurs contemporains.

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