Le PDG de Google propose d’utiliser le vaisseau spatial Starship de SpaceX pour l’informatique quantique dans l’espace

Le PDG de Google propose d’utiliser le vaisseau spatial Starship de SpaceX pour l’informatique quantique dans l’espace

Veuillez noter que cet article ne constitue pas un conseil en investissement. L’auteur ne détient aucune position dans les actions mentionnées.

Collaboration innovante : Sundar Pichai, PDG de Google, imagine le vaisseau spatial de SpaceX pour l’informatique quantique

Sundar Pichai, le PDG de Google, a récemment proposé le concept intrigant d’utiliser le vaisseau spatial Starship de SpaceX pour établir des clusters de calcul quantique dans l’espace. Cette idée a émergé lors d’un dialogue sur les réseaux sociaux avec Elon Musk, qui a exprimé son accord et a souligné sa faisabilité pour l’avenir. Le moment de leur discussion a coïncidé avec le test de tir statique réussi de la fusée de 71 mètres de haut de SpaceX au Texas.

Opérations de vol à venir pour Starship et Boosters

Le récent essai de tir statique du propulseur Super Heavy a eu lieu moins d’un mois après le vol 6 de Starship. Ce test est crucial car il fait partie de la liste de contrôle avant un vol d’essai ultérieur, ce qui indique que le prochain lancement de Starship pourrait avoir lieu dès janvier. Ces informations découlent d’une demande antérieure de la NASA à la Federal Aviation Administration (FAA) concernant le calendrier de la mission.

Pour le prochain vol, l’attention se portera sur le propulseur de l’étage supérieur, qui est crucial pour évaluer la capacité de SpaceX à exécuter une manœuvre audacieuse de capture de la tour avec le vaisseau spatial.

Google fait une percée avec la puce informatique quantique Willow

Dans le cadre des discussions sur l’utilisation de l’espace, Google a récemment dévoilé sa puce informatique quantique révolutionnaire baptisée Willow. Lors de sa conversation avec Elon Musk, Pichai a souligné que Willow pouvait effectuer en moins de cinq minutes un calcul qui prendrait dix septilliards d’années à un superordinateur, un exploit qui prétend transcender les échelles de temps connues en physique et l’âge de l’univers.

Cette affirmation remarquable, partagée dans un billet de blog par Google, suggère que le calcul quantique peut fonctionner dans plusieurs univers parallèles, ce qui étaye la théorie du multivers. La puce Willow est le fruit des efforts de fabrication déployés dans l’usine de Google à Santa Barbara, en Californie. L’entreprise a pour objectif de présenter prochainement des calculs pratiques « au-delà des calculs classiques » utilisant les puces quantiques actuelles.

Préparations et spécifications du vol Starship Flight 7

Si SpaceX est resté relativement discret sur les détails du vol Starship 7 après le vol précédent en novembre, la société a fait des progrès significatifs dans les modifications apportées aux deux fusées à étage, dont le lancement est prévu en janvier. Les améliorations comprennent des tuiles de protection thermique mises à jour, une disposition des tuiles révisée, des réservoirs plus grands et une nouvelle tuyauterie pour les moteurs Raptor.

Il convient de noter que les tests du nouveau vaisseau spatial de l’étage supérieur ont largement examiné la conception des réservoirs, des composants essentiels pour les missions futures, d’autant plus que SpaceX a l’intention d’utiliser un étage supérieur amélioré pour un dépôt de propulseur en orbite terrestre.

Test de tir statique et objectifs de vol futurs

Alors que les préparatifs du vol Starship Flight 7 sont en cours, SpaceX a lancé des tests pré-vol, qui ont commencé par un test réussi d’amorçage de la pompe à propergol, suivi d’un tir statique de huit secondes impliquant un nombre non divulgué de moteurs. En règle générale, SpaceX partage les mises à jour de ces tests via ses plateformes de médias sociaux ; cependant, les détails n’avaient pas été divulgués au moment de la publication de cet article.

Le vol 7 représente une opportunité importante pour SpaceX de tenter pour la troisième fois de capturer le propulseur Super Heavy avec un mécanisme de capture de tour. La première tentative lors du vol 5 a été un succès, mais la société a choisi de ne pas capturer le propulseur lors du vol 6 en raison de complications liées à la structure de lancement.

Si vous souhaitez en savoir plus sur cette collaboration entre Google et SpaceX, veuillez consulter la source et les images .

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *