Décision surprenante de Donkey Kong Bananza : utiliser AMD FSR 1 au lieu des fonctionnalités clés de la Nintendo Switch 2

Décision surprenante de Donkey Kong Bananza : utiliser AMD FSR 1 au lieu des fonctionnalités clés de la Nintendo Switch 2

Limitations techniques de Donkey Kong Bananza sur Nintendo Switch 2

Le très attendu Donkey Kong Bananza pour Nintendo Switch 2 semble négliger une fonctionnalité essentielle inhérente aux capacités de la console. Au lieu d’exploiter des technologies avancées comme le DLSS de NVIDIA, le jeu opte pour une version antérieure de la technologie FidelityFX Super Resolution (FSR 1) d’AMD associée à la technologie SMAA, une solution d’anticrénelage post-traitement. Ce choix est surprenant, surtout si l’on considère les performances améliorées d’autres titres de lancement tels que Cyberpunk 2077 et Street Fighter 6, qui exploitent efficacement la technologie d’upscaling de NVIDIA.

Malgré ces choix, la qualité d’image du jeu reste acceptable, avec une couverture des bords appréciable. Cependant, certains détails plus fins sont sensiblement flous, ce qui donne un aspect flou, notamment en mode stationnaire où la résolution oscille entre 1080p et 1200p, avec une mise à l’échelle dynamique.À l’inverse, en mode portable, la résolution se stabilise généralement autour de 1080p, s’alignant davantage sur les capacités d’affichage de l’appareil.

Aperçu des performances : avantages du mode portable

Il est intéressant de noter que les joueurs trouveront peut-être l’expérience de jeu Donkey Kong Bananza plus satisfaisante en mode portable. Malgré quelques optimisations mineures par rapport aux images de pré-lancement, le jeu souffre toujours de baisses de performances. Ces fluctuations sont exacerbées par la fonction V-sync à double tampon, qui réduit la fréquence d’images lors des baisses, la divisant momentanément par deux jusqu’à ce que les performances se stabilisent. Bien que ces problèmes soient quelque peu atténués en mode portable grâce à la technologie de fréquence de rafraîchissement variable (VRR), l’expérience de jeu n’est pas parfaite. Les baisses de fréquence d’images peuvent descendre sous le seuil du VRR, jusqu’à 30 images par seconde.

Selon les experts de Digital Foundry, cette incohérence de performances peut provenir du fait que le jeu fonctionne dans un environnement à 60 Hz, ce qui peut perturber la fonctionnalité VRR chaque fois que la fréquence d’images descend en dessous de 40 FPS.

La conclusion est un peu décevante, car Donkey Kong Bananza est un titre divertissant à la dérive au milieu de problèmes techniques qui pourraient nuire au plaisir du joueur.

Pour plus de détails, visitez le rapport complet de WCCFTech.

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