Sarah Greenhalgh, une journaliste de renom originaire de Virginie, a tragiquement perdu la vie dans un incendie de maison à Upperville le 9 juillet 2012. Cependant, les enquêtes ont révélé plus tard qu’elle n’était pas une victime de l’incendie lui-même ; elle avait été mortellement blessée par balle avant l’incendie. Ses collègues du Winchester Star se sont inquiétés lorsqu’elle n’est pas venue à son travail, ce qui les a conduits à signaler sa disparition.
Les autorités ont découvert son corps sans vie dans les restes calcinés de son chalet, révélant que l’incendie avait été intentionnellement allumé pour dissimuler le meurtre. Le cas de Greenhalgh est mis en lumière dans le dernier épisode de People Magazine Investigates, intitulé « A Story to Die For », diffusé le lundi 28 octobre à 22h/21h sur Investigation Discovery et également disponible en streaming sur Max.
Cet épisode se penche sur les détails étranges entourant la mort prématurée de Sarah, notamment un message Facebook cryptique qu’elle a publié quelques heures avant son meurtre et l’enquête rigoureuse qui a suivi. Les téléspectateurs peuvent s’attendre à une exploration complète des défis auxquels les détectives ont été confrontés alors qu’ils travaillaient pour découvrir la vérité sur cette affaire déroutante.
Cinq détails intrigants entourant le meurtre de Sarah Greenhalgh
1. Un incendie mortel a masqué la réalité
Le matin du 9 juillet, les pompiers se sont rendus sur place pour intervenir sur un incendie dans une maison de campagne de Virginie et ont découvert les restes de Greenhalgh à l’intérieur. Un examen approfondi effectué par des professionnels de la santé a révélé que sa mort était due à une blessure par balle plutôt qu’à un incendie. Cette révélation choquante a transformé l’incident en enquête pour homicide, incitant les autorités à rechercher son meurtrier.
2. Sa dernière mise à jour cryptique sur les réseaux sociaux
Quelques heures avant sa mort, Sarah Greenhalgh a partagé un message intriguant sur Facebook qui a ajouté une dimension particulière aux événements qui se déroulaient. Elle a mentionné avoir dormi avec sa fenêtre ouverte et a exprimé sa frustration à l’égard d’un « garçon complètement fou », soulignant son besoin de paix avant la semaine de travail.
Cette publication a alimenté les spéculations parmi les enquêteurs concernant l’identité du « garçon fou » et s’il aurait pu jouer un rôle dans sa mort, ce qui en fait un élément de preuve essentiel dans l’affaire.
3. Un petit ami avec un passé troublant
Au cours de l’enquête, les autorités se sont penchées sur John Kearns, l’un des partenaires les plus récents de Sarah Greenhalgh, qui aurait été impliqué dans une confrontation avec elle la veille de sa mort. Des articles du magazine People ont indiqué que Kearns portait des « blessures importantes » aux mains, qu’il attribuait à la pratique des arts martiaux.
Il a été accusé d’avoir effacé des échanges de courriers électroniques entre lui et Sarah Greenhalgh. Bien qu’il ait été initialement considéré comme suspect, les preuves n’étaient pas suffisantes pour le relier au meurtre de Sarah Greenhalgh et il a finalement été blanchi de toutes les accusations.
4. Absence de preuves concrètes
Malgré les nombreux soupçons qui pesaient sur Kearns, âgé de 50 ans au moment des faits, les enquêteurs n’ont pu découvrir aucune preuve matérielle appuyant les accusations de violences ou de signes d’incendie criminel le concernant. Cette absence de preuve définitive a entravé les efforts visant à l’accuser du meurtre de Sarah Greenhalgh.
Kearns, aujourd’hui âgé de 62 ans et résidant en Virginie, n’a jamais été formellement accusé. De plus, il a choisi de s’abstenir de tout commentaire sur l’affaire lorsque le magazine People l’a contacté.
5. Une énigme omniprésente à Upperville, en Virginie
Le meurtre de Sarah Greenhalgh a provoqué une onde de choc au sein de sa famille, en particulier chez sa mère de 95 ans, Sara Lee Greenhalgh, qui a dû faire face à l’insondable réalité de la mort violente de sa fille. Alors que la vie de Sarah a été tragiquement écourtée, sa mère reste hantée par cette affaire non résolue et par les questions obsédantes entourant le meurtre.
À ce jour, la mort de Sarah continue de dérouter les autorités, tout comme le mystère de son dernier message et l’identité de son agresseur potentiel. L’épisode de People Magazine Investigates consacré à son histoire, intitulé « A Story to Die For », est désormais disponible sur Max.
Crédit photo : Sportskeeda.com
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