13 idées que les lecteurs de light novels ont sur Ayanokoji dans Classroom Of The Elite

13 idées que les lecteurs de light novels ont sur Ayanokoji dans Classroom Of The Elite

Les amateurs d’anime connaissent bien Kiyotaka Ayanokoji, l’énigmatique protagoniste de Classroom of the Elite , qui figure souvent en tête des classements des fans. Son attitude réservée, associée à une dissimulation délibérée de ses pensées les plus intimes, cultive une mystique convaincante qui captive les spectateurs.

Au fur et à mesure que le récit se déroule, le public découvre peu à peu les différentes facettes de la personnalité complexe d’Ayanokoji. Cependant, ceux qui se plongent dans les romans légers bénéficient d’une compréhension beaucoup plus approfondie du personnage d’Ayanokoji, ce qui le différencie de son portrait dans l’adaptation animée. Nous explorons ici dix aspects fascinants d’Ayanokoji qui sont révélés de manière unique dans les romans légers.

Mis à jour le 5 janvier 2025 par Emedo Destiny : Avec la récente sortie de la troisième saison, il est remarquable de voir à quel point Classroom of the Elite illustre magistralement la phrase « plus on regarde, moins on voit » en relation avec Ayanokoji. Aimé pour sa nature multiforme, Ayanokoji reste une énigme, ne révélant que des parties de lui-même tout en se faisant passer pour une figure mystérieuse tout au long de la série. Alors que l’anime tente de rattraper son retard, les lecteurs de la série de romans légers ont accès à bien plus de détails sur la personnalité complexe d’Ayanokoji. Ci-dessous, nous approfondissons dix aspects révélateurs du personnage, connus uniquement des fans de romans légers.

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Le nom d’Ayanokoji est un acte de méchanceté

Le dernier cadeau de sa mère éloignée

la chambre blanche ayanokoji

Fidèle au thème de la défectuosité qui entoure Ayanokoji, le nom « Kiyotaka », offert par sa mère Mika, sert de miroir à sa situation unique. Né d’un simple accord commercial entre deux professionnels, ce nom est sans doute le seul aspect affectueux qui émerge de sa conception.

Afin de souligner ses griefs envers Atsuomi, le père d’Ayanokoji qui a rompu les liens avec elle après sa naissance, Mika a choisi de nommer son fils d’après un client mémorable. Ainsi, « Kiyotaka » symbolise son acte final de rébellion contre un père indifférent.

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Ayanokoji a une mémoire parfaite

Au-delà du niveau d’un génie

Ayanokoji

Bien que les spectateurs soient souvent impressionnés par les capacités cognitives d’Ayanokoji à un niveau superficiel, les romans légers vont plus loin, révélant qu’il possède une mémoire parfaite. Cette capacité ne se limite pas à se souvenir de faits ; Ayanokoji peut se souvenir avec précision d’événements de son enfance, y compris de conversations détaillées dès l’âge de deux ans, un exploit rarement réalisé par la plupart des individus.

Une excellente démonstration de cette mémoire extraordinaire apparaît lorsqu’il rencontre son père, Atsuomi, pour la première fois. Ayanokoji reconnaît avec désinvolture l’identité de son père, révélant comment il l’a apprise à l’âge de quatre ans, soulignant la profondeur de ses souvenirs.

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Ayanokoji est le produit d’individus brisés et d’une ambition sans égale

Élevé dans le seul but du pouvoir

Ayanokoji

Le passé obscur d’Ayanokoji avant son passage à l’Advanced Nurturing School en dit long sur son éducation. Les romans légers révèlent des détails saisissants sur ses origines : Ayanokoji est le produit d’une relation atypique entre son père, un homme consumé par sa quête de pouvoir, et sa mère, Mika, une travailleuse du sexe. Ce contexte explique non seulement ses expériences formatrices dans l’énigmatique White Room, mais contextualise également ses motivations complexes.

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Ayanokoji a à peine effleuré la surface de ses véritables capacités

Lui seul connaît la véritable étendue de ses capacités

Ayanokoji

Les capacités d’Ayanokoji sont sans équivalent dans la série. Il reste tranquillement conscient qu’il n’est pas seulement unique mais bien supérieur à ses pairs et aux autres habitants de la salle blanche. Après avoir terminé un programme complet de dix niveaux conçu pour cultiver des individus extraordinaires, il devance ses camarades de plusieurs années, tant mentalement que physiquement, ce qui le distingue des autres individus.

9
Ayanokoji n’est pas si distante

Il préfère simplement passer inaperçu

ayanakoji

Les lecteurs des light novels remarquent rapidement que le portrait d’Ayanokoji diffère selon les adaptations. L’anime le présente comme intensément distant, apparemment indifférent aux émotions qui circulent autour de lui. En revanche, les light novels révèlent un paysage émotionnel plus nuancé, le dépeignant comme quelqu’un qui, bien que stoïque, éprouve et ressent profondément, bien qu’il ait du mal à exprimer ces sentiments en raison de son éducation.

8
Ayanokoji est un machiavélique

Il n’a pas de place pour les émotions à côté de ses objectifs

Le regard froid d'Ayanakoji

En raison de son caractère émotionnellement détaché, de nombreux téléspectateurs qualifient rapidement Ayanokoji d’antisocial, voire de sociopathe. Cependant, dans les romans légers, une classification plus précise émerge : machiavélique. Il considère les autres avant tout comme des instruments pour réaliser ses ambitions, manipulant stratégiquement les personnes et les situations pour assurer la victoire sans remords, en résonance avec les philosophies de Machiavel.

7
Ayanokoji est un narrateur peu fiable

Il ment même aux lecteurs

Classe des étudiants d'élite du darwinisme social Kiyotaka Ayanakoji Classe 1 D

Les lecteurs qui parcourent les light novels découvrent qu’Ayanokoji est un narrateur peu fiable, dont les tromperies verbales s’étendent au-delà de ses interactions avec les autres personnages, jusqu’au public. Au début, il présente une façade de recherche d’amitié et d’évitement de l’attention, mais l’intrigue révèle finalement un manipulateur calculé qui se concentre exclusivement sur ses objectifs. Cela sape la confiance des lecteurs, les obligeant à scruter le récit pour en vérifier l’authenticité.

6
Tout ce que veut Ayanokoji, c’est la liberté

La liberté accompagnée d’une exploration sans surveillance

Ayanokoji dans la salle blanche

Au début, Ayanokoji exprime le désir d’une vie scolaire paisible, déconnectée de son passé tumultueux. Cependant, ce désir révèle sa véritable profondeur au fil du temps. Sa quête de calme masque en fait son désir d’échapper aux influences de la salle blanche et à la surveillance autoritaire de son père. Les traumatismes ancrés en lui en raison de son éducation lui confèrent un désir de libération non seulement de ses expériences passées, mais aussi des idéologies qui lui ont été inculquées.

5.
Ayanokoji se soucie de certaines personnes

Il n’est pas exactement sans émotion

groupe ayanokoji

Bien qu’Ayanokoji incarne souvent la cruauté et manipule les autres à des fins personnelles, il y a des moments où il révèle une réelle préoccupation pour certaines personnes. C’est évident lorsqu’il intervient pour protéger Kei Karuizawa des brimades de Kakeru Ryūen ou lorsqu’il apporte du réconfort à Honami Ichinose dans un moment de vulnérabilité.

4
Ayanokoji est l’allié de Suzune Horikita

L’intérêt mutuel transformé en soin

Suzune dans La classe de l'élite

La dynamique entre Ayanokoji et Suzune Horikita s’approfondit dans les light novels, le présentant comme son seul compagnon et la première personne qu’elle considère comme un ami. Leur relation est subtilement romancée, bien que les deux personnages rejettent ces implications. Ayanokoji opère dans les coulisses, assurant le succès de Suzune tout en agissant sous ses arrière-pensées, s’efforçant de la protéger même s’il n’a pas entièrement confiance en elle.

3Ayanokoji
se lie d’amitié avec Kohei Katsuragi

Il ne considère pas toujours les gens comme des outils

Katsuragi Kohei

Les amateurs de light novels expriment souvent leur mécontentement face à l’omission et à la modification de scènes clés dans l’adaptation animée. L’une des absences notables concerne Kohei Katsuragi, qui, dans le volume 4.5 du light novel, reçoit l’aide d’Ayanokoji pour se rapprocher de sa sœur par un geste sincère le jour de son anniversaire, ce qui contraste avec la représentation comparativement plus froide de l’anime.

2
Ayanokoji a plus d’interactions avec d’autres filles

Un harem pourrait être en route

La classe de l'élite Kiyotaka Ayanokouji Suzune Horikita Kei Karuizawa Crunchyroll

Une différence notable entre les light novels et l’adaptation animée réside dans l’accent mis sur Suzune Horikita, mettant souvent de côté d’autres personnages féminins importants. Les lecteurs des light novels ont droit aux interactions d’Ayanokoji avec un plus large éventail de personnages féminins, dont Kei Karuizawa, avec qui il partage des moments clés notables absents de l’anime.

1
Ayanokoji a une relation amoureuse avec Kei Karuizawa

Sa première petite amie

Karuizawa et Ayanakoji

Les light novels révèlent une relation bien plus complexe et évolutive entre Ayanokoji et Kei Karuizawa que celle décrite dans la série animée. Initialement difficile, leur lien se renforce alors qu’Ayanokoji la défend contre les intimidateurs, ce qui conduit à un développement mutuel de sentiments culminant dans une confession et les établissant comme un couple. Malheureusement, l’anime n’a pas encore mis en valeur cet aspect essentiel de leur lien.

De plus, le tome 0 des light novels résume les opinions complexes d’Ayanokoji sur la White Room. S’il reconnaît que les droits de l’homme y sont violés, il ne regrette rien, mais exprime sa gratitude pour les compétences acquises pendant son séjour là-bas tout en reconnaissant la nécessité de se développer davantage au-delà de ses limites.

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