
The Far Side, réalisé par l’imaginaire Gary Larson, est réputé pour sa capacité à transformer le banal en extraordinaire à travers le prisme de l’absurde. Cette perspective fantaisiste brille particulièrement dans ses représentations du cirque, un monde rempli d’émerveillement et d’extravagance. L’humour de Larson s’épanouit sur des thèmes allant du bien-être animal dans les cirques aux étranges rebondissements extraterrestres dans les spectacles de cirque traditionnels, le tout sous un immense chapiteau.
Les clowns sont également mis à l’honneur dans de nombreuses bandes dessinées sur le thème du cirque. Le style comique caractéristique de Larson incite les lecteurs à réfléchir à des questions telles que : Et si les clowns étaient à la tête du Congrès ? Quelle est l’intensité de la concurrence au sein de l’industrie du cirque ? Et quels secrets se cachent dans les coulisses ? Les réponses promettent de susciter le rire, capturant l’essence de l’absurde.
10 « Une compagnie de cirque extraterrestre »
14 septembre 1992

Dans un revirement de situation, un professeur se retrouve enlevé par des extraterrestres et se voit confier une tâche absurde : résoudre des équations de calcul dans le cadre d’un numéro de cirque extraterrestre. Avec un extraterrestre brandissant un fouet à proximité, le niveau de stress monte en flèche. Bien qu’un cirque extraterrestre contraste fortement avec les performances humaines traditionnelles, certains éléments familiers, tels que le ring central et le meneur, établissent un cadre auquel les lecteurs peuvent s’identifier. La mésaventure du professeur Doyle montre que ses compétences mathématiques pourraient bien être sa bouée de sauvetage.
9 « Vaches Lipizzanes »
12 mai 1993

Alors que les amateurs de cirque s’attendent à des numéros d’animaux sauvages, la vue d’une pyramide de vaches est véritablement étonnante.The Far Side capture ce numéro insolite, illustrant un fermier qui effectue plusieurs tâches en même temps qu’il traite la vache perchée au sommet. Ce spectacle singulier rend hommage aux célèbres chevaux lipizzans, bien que dans un contexte bovin beaucoup plus hilarant.
8 « Clowngress »
15 janvier 1992

Gary Larson adore les jeux de mots et sa créativité transparaît dans le concept d’un Congrès rempli de clowns transformé en « Clowngress ».Cette version colorée de la gouvernance n’est pas seulement divertissante, elle est aussi absurdement drôle. Avec des farces comme des pancartes « frappez-moi » et des photos d’identité scandaleuses, elle suggère que le gouvernement pourrait être beaucoup plus agréable – ne serait-ce que sous forme de dessin animé.
7 « On dirait un piège »
16 novembre 1982

Cette bande dessinée met en scène deux ours qui participent à contrecœur à un numéro de cirque, l’un exprimant son agacement envers l’autre pour sa captivité.Leur mésaventure reflète avec humour la dure réalité des animaux sauvages utilisés comme divertissement. Par le biais d’un humour noir, Larson critique subtilement l’éthique d’un tel traitement, incitant les lecteurs à réfléchir aux complexités de la captivité animale bien avant que des changements généralisés ne commencent dans l’industrie.
6 « Un vieux chien »
3 juin 1992

Rex, le chien, étonne le public avec son numéro impressionnant : il se tient en équilibre sur une corde raide tout en jonglant.Cependant, en tant que chien vieillissant essayant d’exécuter de nouveaux tours, Rex donne vie avec humour au dicton : « On ne peut pas apprendre de nouveaux tours à un vieux chien.» Son monologue intérieur reflète la tension entre les attentes et les capacités, ce qui rend sa performance précaire d’autant plus divertissante.
5 « Quel nez rouge ! »
5 août 1992

Dans un revirement comique et impitoyable, The Far Side introduit le concept des « nez rouges », des clowns qui s’attirent les faveurs de leur patron.Tandis que leurs collègues clowns regardent avec consternation, la bande dessinée explore la rivalité inattendue au sein d’une profession apparemment ridicule. Ce gag visuel sert à nous rappeler que la concurrence peut prospérer, même dans les lieux de travail les plus inattendus.
4 « Ces choses se cassent tout simplement »
8 juin 1983

Cette version humoristique des ours de cirque montre leur lutte contre des muselières encombrantes.Lorsqu’un ours découvre que sa muselière se détache facilement, le risque de faire des bêtises apparaît. Cette autonomisation comique suggère un renversement de situation, car les ours pourraient potentiellement se retourner contre leurs ravisseurs, faisant écho aux sentiments réels sur les droits des animaux.
3 « Les fils respectifs de Barnum et Bailey »
30 août 1993

Imaginez-vous grandir dans un cirque et rêver d’un travail de bureau ordinaire. The Far Side met en scène ce revirement ironique avec les enfants fictifs de Barnum et Bailey.Alors que Sid et Marty fuient leur vie de cirque pour embrasser la rigidité de l’Amérique des entreprises, leur rébellion contre l’excitation du monde du cirque souligne la nature imprévisible des aspirations de l’enfance.
2 « Bobo »
3 mai 1987

En mettant en lumière le traitement discutable des animaux de cirque, Bobo, un ours en tutu, s’échappe audacieusement du cirque.Sa libération de son enfermement, accompagnée d’une balade à vélo loin de sa vie passée, présente un commentaire léger mais poignant sur le bien-être animal. Le voyage de Bobo incarne l’esprit de liberté, après des années de maltraitance.
1 « Le cirque est de retour en ville ! »
15 février 1993

Tandis que deux sorcières d’Oz réagissent au retour du cirque, l’une d’elles se souvient d’un incident mémorable. Un clown a un jour arrosé Ruby d’eau, provoquant sa fameuse fonte.Plutôt que de fuir le cirque, la nostalgie de la sorcière illustre un penchant tordu pour les expériences absurdes associées à la vie de carnaval. La représentation du cirque des frères Dingling offre un clin d’œil astucieux aux frères Ringling, mêlant humour et références culturelles.
Laisser un commentaire